La Société des transports intercommunaux de Bruxelles (Stib) s’est séparée d’un groupe de 4 à 5 de ses travailleurs, pointés par les services de sécurité comme « radicalisés » ou « représentant un danger pour leur activisme musulman radical », rapporte samedi l’Echo, citant plusieurs sources fiables et indépendantes.
Pendant ce temps La RATP,(Paris) a également annoncé la mise en place le 1er décembre d'une délégation générale de l'éthique, pour faire remonter en interne tous les comportements radicaux et former les managers pour repérer et gérer ses comportements.