À l’issue de la cérémonie berruyère, un échange a eu lieu entre la préfète et deux représentants d’une association musulmane conviée, comme plusieurs autres, à l’hommage, qui ont refusé de lui serrer la main.
Selon leur interprétation de la religion, « on n’a pas le droit de serrer la main aux femmes » ont expliqué ces deux représentants de Ditib Vierzon (ex-association des travailleurs turcs de Vierzon