« Son seul crime, c’était d’avoir choisi la vie, au mauvais endroit ». Deux jours après la mort de Tara Farès, une ancienne Miss Irak et Miss Bagdad, abattue en plein cœur de Bagdad, l’indignation ne cesse de grandir en Irak.
Jeudi, alors qu’elle se trouvait dans les rues de la capitale irakienne, au volant de sa Porsche aux fauteuils rouges, la jeune femme de 22 ans a été touchée par « trois tirs mortels », selon le ministère irakien de l’Intérieur.