«On sait que dans les écoles privées, il y a une contribution des parents. Dans certaines écoles privées, quand on regarde la petite histoire, elles ont été gérées par des religieuses par exemple, ou différents groupes proches de certaines religions», a expliqué le premier ministre mercredi à l’entrée du caucus présessionnel de la CAQ à Gatineau.
Même si François Legault veut interdire le port de signe religieux pour les enseignants du primaire et du secondaire, il n’a pas l’intention de porter cet interdit aux profs qui enseignent à des dizaines de milliers d’enfants du réseau privé, dont la subvention est égale à environ 60 % de celle versée aux écoles du secteur public.